Wysips – espace presse: Wysips: Page 2

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By admin on 28 mars 2011 in Press/Web International

How would you like to have a cellphone that never needed to be charged? That’s the promise of French company Wysips, which wants to turn your phone’s screen into a solar charger. It works like this: a transparent photovoltaic film covers the screen of your device, and provides 250mW of power to trickle-charge the battery. The film is thin — just 100 microns or 0.1mm — and won’t dim the screen when incorporated into the LCD panel. Wysips says the film will typically add just a dollar to the cost of a phone, and hopes to have shipping units within a year. The beauty of the design is that it scales. The bigger the screen of a device, the bigger the solar panel. A typical phone will be fully charged in six hours, and the second-gen version will give you a half-hour’s worth of power with just one hour of charging.

The real winner here will be ebooks. These typically sip power anyway, and have pretty big screens. While you may still have to plug in an iPad to charge it at night, a Kindle with Wysips’ tech in its screen would likely never, ever need to be charged, especially as you can only read it when there’s enough light to do so.

Source : Wired

By admin on 28 mars 2011 in Presse/web France

02/12/2010 Méridien Mag publie un article sur la technologie Wysips. Adeline Descamps

A l’origine de deux procédés brevetés, la TPE, qui se positionne sur l’innovation dans le domaine de l’énergie solaire, prépare un deuxième tour de table. Basée à Lambesc, Sunpartner vient, coup sur coup, de lever 1,8 M! et de recevoir le prix de l’innovation TIC PACA 2010. Le premier apport de fond – pour moitié auprès d’acteurs privés (Davanière Capital Partenaire, Sophia Business Angel et Little Green Capital) et publics (ADEME, OSEO, collectivités locales) doit lui permettre d’accompagner le développement de ses deux filiales : Axiosun et Wysips, fondées en 2009. La première est spécialisée dans les centrales solaires à concentration.

« Le soleil offre une énergie gratuite et disponible mais les solutions solaires présentent aujourd’hui des coûts élevés », rappelle Ludovic Deblois, président de la start-up, qui ambitionne d’initier un modèle d’innovation dans la filière solaire. « Nous avons choisi de nous positionner sur des solutions à bas coût, de 30% de moins que les équipements actuels ». La société, qui est aujourd’hui en mesure de fournir des centrales de 5 à 10 mégawatts, a d’ores et déjà deux sites pilotes au Sénégal et en Mauritanie. Elle s’est positionnée par ailleurs sur deux autres appels d’offre. « Notre objectif est d’être présent dans dix pays d’ici trois ans, notamment au Maghreb et en Afrique du sud ». L’entreprise aixoise, qui n’a pas vocation à être industrielle, espère ainsi fédérer une filière autour de son projet.

Le second procédé WYSIPS® (What You See Is Photovoltaic Surface), breveté en 2006 et qui vient d’être récompensé, permet à une image de devenir photovoltaïque c’est-à-dire de produire de l’énergie. Applicable sur tous les écrans, il permet d’apporter l’énergie électrique suffisante pour une demi-heure de communication, après une heure d’ensoleillement. Naturellement, la technologie intéresse tout particulièrement les opérateurs mobiles, elle permettrait de résoudre en partie les défaillances des batteries actuelles. En contact avec des fabricants et opérateurs, la société entend procéder par cession de licences d’exploitation. Le marché des mobiles sera probablement le premier à intégrer le procédé mais « les applications sont multiples : communication visuelle, transport, textiles intelligents, intégration des panneaux solaires… », insiste le jeune dirigeant, qui évoque une deuxième levée de fonds, de l’ordre de 10 M! fin 2011, cette fois auprès d’industriels. La société, trop à l’étroit dans ses murs actuels et pour anticiper les recrutements à venir – 20 personnes en RD en 2011 – cherche un site et idéalement, ce serait sur la technopole de l’Arbois.

By admin on 28 mars 2011 in Presse/web France

02/12/2010 Marseille l’Hebdo publie un article sur la technologie Wysips.
Thibaud Teillard

Sunpartner met du soleil dans nos portables Une start-up aixoise, Sunpartner, innove dans le solaire. Et avec ses téléphones qui produisent de l’énergie, elle pourrait bien devenir une « success story » planétaire.
Et si votre téléphone portable produisait lui-même de l’énergie ? Un rêve ? Plutôt une réalité au nom de Wysips, les initiales de « What you see is photovoltaïc surface » (ce que vous voyez est une surface photovoltaïque).

Derrière ce vocable un rien techno: une trouvaille de Joël Gilbert, un astrophysicien. « Cest d’abord un inventeur, explique Ludovic Deblois, son associé qui l’a rencontré autour de projets en Afrique. Il a reçu un jour un livre avec un hologramme et s’est dit qu’on pouvait remplacer la deuxième image par une zone de transparence pour permettre ainsi à la lumière de passer. Deuxième idée : coller une bande de silicium grâce à un film photovoltaïque transparent. »

Résultat : un brevet déposé en 2006. La technologie est au point et elle permet à un écran d’Iphone placé en plein soleil de produire 30 minutes d’énergie pour une heure d’ensoleillement. C’est autant d’économie de batterie, avec de quoi séduire fabricants et opérateurs téléphoniques. Les premiers pour le côté design qui supprime l’inélégant panneau photovoltaïque qui équipe déjà le dos de certains portables écolos. Les seconds parce qu’il offre un surcroît d’autonomie au téléphone. « Et plus vous avez d’autonomie, plus vous téléphonez?, s’amuse Ludovic Deblois. Wysips a un potentiel immense, dans la mesure où il y a un milliard de télé- phones en service dans le monde.

Sunpartner, la société de Ludovic Deblois et Joël Gilbert qui porte ce brevet mondial et entend en vendre la licence, est donc peut-être en passe de devenir une « success story » planétaire. « C’est une société fantastique, s’enthousiasme Olivier Thomas, directeur du CEEI de l’Arbois. Elle montre qu’à Marseille et à AÏK, on sait construire des start-ups qui réussissent. »

Sunpartner est née dans les petits bureaux de ce centre spécialisé dans l’accompagnement des entreprises innovantes. En 2008, elle s’est implantée à Saint-Cannat, puis aujourd’hui à Lambesc en développant Wysips et une autre technologie, elle aussi très prometteuse, Axiosun. Toujours dans le solaire, il s’agit cette fois de réaliser des centrales solaires dites à concentration.

« C’est-à-dire qu’elles évitent la grande déperdition d’énergie des centrales classiques en focalisant l’ensoleillement sur fes, cellules, afin de diminuer leur taille et utiliser moins de silicium », décrypte Ludovic Deblois. Ce système, reconnaît-il, ne fonctionne pas très bien à Lille, mieux dans notre région, mais encore bien mieux au Maghreb ou en Afrique où il y a deux fois plus de rayonnement direct qu’à Marseille. De l’autre côté de la Méditerranée, Sunpartner veut vendre ses centrales clés en mains à des bailleurs publics (type Sunpartner en chiffres Sunpartner vient de lever 1,8 million d’euros auprès de divers partenaires privés (Davaniere Capital, un groupe présent dans l’éolien et le solaire basé à Puyricard, ou encore le fonds éthique parisien Little Green Capital) et publics (Ademe, Oseo, Conseil général, Conseil régional).

H compte vendre, avec Axiosun, une vingtaine de mégawatts de centrales solaires par an pour des projets unitaires de 10/20 kWà 2, voire bientôt 5 mégawatts. Un prototype de démonstration est en cours de finalisation à Saint-Cannat et l’industrialisation de la fabrication doit être lancée l’an prochain. Ses deux projets africains en cours (en Casamance, au Sénégal, et en Mauritanie) représentent des investissements de 250 000 à 300 000 euros chacun.

La technologie est au point et permet à un écran d’Iphone placé en plein soleil de produire 30 mn d’énergie pour I h d’ensoleillement. C’est autant d’économie de batterie, avec de quoi séduire fabricants et opérateurs téléphoniques.

Banque Mondiale, Programme des Nations unies pour le développement) ou à des privés (comme les opérateurs de téléphonie qui ont besoin d’énergie pour leurs antennes, ou des plantations). Et les conçoit comme des « stations services du solaire » auxquelles les villageois viendraient recharger leur téléphone ou brancher leur fer à souder. « Les Chinois vont en Afrique pour vendre des panneaux solaires en série mais nous, nous voulons accompagner tes pays du Sud en réalisant des transferts de technologie », affirme Ludovic Deblois. Son concept, accompagné par l’Ademe (l’Agence de la maîtrise de l’énergie), a déjà deux projets en cours de montage en Casamance et en Mauritanie Objectif: un démarrage de ces centrales en 2011. Axiosun se veut particulièrement adaptée à l’Afrique, car –sa centrale fonctionne selon une technologie à bas coûts. Elle n’a pas besoin de moteur pour que les panneaux suivent le soleil, contrairement aux systèmes en place (dits de tracking), par exemple en Australie. « Notre système qui fixe le rayonnement est unique au monde. Il n’y a qu’à déplacer les miroirs quelques fois dans l’année de manière manuelle. »

Ces deux projets donnent des ailes à Sunpartner qui, après avoir déjà investi un million d’euros en recherche et développement, vient de lever 1,8 million d’euros supplémentaire et prépare déjà une nouvelle augmentation de fonds propres. La jeune start-up compte 15 salariés et prévoit d’en embaucher 20 de plus rien qu’en Recherche & Développement, l’an prochain, pour arriver à une cinquantaine de salariés au premier semestre 2012. « Le solaire est une énergie inépuisable, mais il y a un grand besoin d’innovation », tonne Ludovic Deblois qui voit déjà, grâce à Wysips, des tuiles, des stores, des publicités, des panneaux d’autoroute, du mobilier urbain ou des voiles et coques de bateaux, produire de l’énergie. Son ambition ? « On aimerait être un Google du solaire / » •

By admin on 28 mars 2011 in Presse/web France

02/12/2010 La Provence publie un article sur la technologie Wysips.
Hervé VAUDOIT

Sunpartner veut se faire une place au soleil

Leur ambition est de « devenir le modèle d’innovation de la filière solaire », mais aussi « une référence aussi bien pour notre approche technologique que pour le bien-être dans l’entreprise ». Ludovic Deblois et Joël Gilbert, les patrons de Sunpartner, ne doutent pas de leur réussite.

Créée à Saint-Cannat (Bouches-du-Rhône) il y a deux ans, leur start-up semble, il est vrai, promise à un avenir radieux. Grâce à deux technologies qui pourraient révolutionner la conversion des rayons solaires en électricité. La première, Wysips, est un film plastique dont la structure semi-cylindrique permet de concentrer la lumière du soleil et la diriger vers de très fines bandes de silicium collées à l’arrière du support et séparées les unes des autres par une bande transparente. Le film reste donc translucide tout en produisant de l’électricité. Selon Ludovic Deblois, président de Sunpartner, des discussions sont en cours avec de grands fabricants de téléphones mobiles. Equipés d’un film Wysips, les écrans y compris tactiles pourraient ainsi devenir capteurs d’énergie solaire et recharger seul leur batterie. Outre les téléphones, ces écrans photovoltaïques pourraient équiper, à terme, toute la panoplie des objets nomades, mais aussi les panneaux publicitaires, les volets des bâtiments, les murs anti-bruit, les abribus, les voiles des bateaux… et même les tuiles de toit, qui conserveraient leur aspect et leur forme d’origine tout en produisant de l’électricité. Le principe de la concentration est aussi à la base du second produit phare de l’entreprise, Axiosun, un concept de ferme solaire à bas coût particulièrement adapté aux besoins et aux moyens des pays en développement. Membre de trois pôles de compétitivité, soutenu par Oséo, l’Ademe, la Région, le Conseil Général des Bouches-du-Rhône et l’Europe, Sunpartner prévoit de passer de 15 à 35 salariés en 2011 et cherche des investisseurs pour continuer à se développer.

By admin on 28 mars 2011 in Presse/web France

02/12/2010 METRO publie un article sur la technologie Wysips.
Alexandre NASRI – www.metrofrance.com

Le portable fait sa révolution

La société provençale Sunpartner a inventé la recharge de portable sans fil. Ingénieux et pratique. Les fabricants de chargeurs de batterie de mobiles ou d’ordinateurs peuvent se faire du souci. La société Sunpartner, basée à Lambesc, vient de mettre au point, après seulement deux ans d’existence, un produit révolutionnaire. Le mot n’est pas trop fort pour qualifier leur technologie Wysips, unique au monde, qui vient de recevoir le prix TIC Paca de l’innovation la plus originale en microélectronique. Une récompense obtenue lors d’une compétition organisée par l’Europe en partenariat avec le conseil régional. Le principe du système est simple : il s’agit d’un film transparent photovoltaïque que l’on peut placer sur n’importe quel écran. Sans rien changer à l’image, le film, invisible, permet de produire de l’énergie électrique grâce au soleil. Par exemple, si le téléphone reste une heure au soleil, il disposera d’une recharge énergique pour une demi heure de communication.

Les premiers mobiles équipés de ce système devraient être commercialisés d’ici à l’été 2012. Outre tous les outils de télécommunication comportant des écrans, cette technologie pourra aussi équiper d’autres supports comme des tuiles, des murs antibruit, des abribus, sans aucun préjudice esthétique. « Notre cheval de bataille, c’est d’avoir une approche vraiment nouvelle de modernisation des énergies renouvelables et de respect des besoins humains et environnementaux. Nous rêvons par exemple qu’un jour, un village africain d’une région reculée soit autonome énergétiquement grâce à des équipements économiques et efficaces » explique Ludovic Deblois, 32 ans, jeune président de Sunpartner, société créée avec son associé, l’astrophysicien Joël Gilbert.